lundi 29 juin 2015

Le service des incendies de la ville de Québec fait installer un détecteur de fumée géant

D'une superficie de 64,000 mètres carrés, il détecte les feux à 240 km à la ronde.

Craignant les débordements lors des festivités s'y tenant (feux de la St-Jean-Baptiste incontrôlables, pyrotechnie dangereuse au Festival d'été, etc.), le service des pompiers de la Ville de Québec a fait installer un détecteur de fumée à la mesure de leur désir de sécurité.  

D'une superficie de 64,000 mètres carrés, il peut contenir jusqu'à près de 30,000 réparateurs simultanément.  Sa puissance est impressionnante; capable de détecter un feu à une distance de 240 km, il émet une sirène d'alarme stridente de 8,000 décibels, qui fait office d'extincteurs en générant une onde sonore tellement intense que le feu détecté sera soufflé par le vide d'air créé, ce qui l'éteindra.  

Nous avons tenté d'obtenir une entrevue avec un membre du service des incendies de la ville de Québec, mais aucun ne semblait apte à entendre nos questions, répétant tous: "Quessé?  Pal plus fort!" après chacune de nos phrases.  (L'exposition aux tests du détecteur géant serait une cause possible de leur apparente surdité, NDLR)

On recommande aux bébés de moins de 6 mois de s'enfoncer des bouchons aux oreilles et de les garder en permanence, afin d'éviter l'éclatement de leurs tympans.  

dimanche 28 juin 2015

Devant un foodtruck, un homme est étonné de voir sa blague hilarante ignorée de tous

M. Sansfaçon, au moment crucial.


Au moment de passer sa commande au foodtruck près de son lieu de travail, un homme a eu l'idée de faire rire les cuisiners et les badauds faisant la file en y allant d'une petite blague. 

"J'me disais, ça va être tellement drôle!  Quand ma commande va être prête, y vont m'appeler, pis là tout le monde va éclater de rire de manière incontrôlable! ... Mais non, a-rien...  J'comprends pas... "

En effet, Paul Sansfaçon a voulu faire rire tout le monde en disant se prénommer "Martin" quand la cuisinière du foodtruck lui a demandé son nom, pour l'appeler à voix haute lorsque son lunch serait prêt.  "Tsé, c'est même pas mon nom, je lui ai dit que je m'appelais Martin, mais... (rires) j'm'appelle Paul, pas Martin!! (rires)", nous disait-il lorsque nous l'avons rejoint par téléphone.  

Peinant à retenir à un fou rire en attendant sa commande, dans l'expectative de l'effet comique généré par l'utilisation d'un nom qui n'est pas la sien, Paul Sansfaçon a été surpris de voir qu'aucune espèce de réaction ne se soit produite lorsqu'il est allé chercher sa nourriture à l'appel des: "Martin!  Commande pour Martin!". 

Au moment de publier ces lignes, M. Sansfaçon songeait à répéter l'expérience au prochain Starbucks qu'il croisera. 

vendredi 19 juin 2015

Conséquences des coupures en éducation: après 28 exposés oraux consécutifs sur les volcans, faute d'autres livres disponibles, un professeur prend sa retraite

Un volcan.
Les dernières coupures, jumelées aux coupures annoncées récemment, ont des répercussions néfastes sur le corps enseignant.  Un exemple bien réel est celui du professeur Michel Gougeon, professeur de 3e année du primaire d'une école de la CSDM, à Montréal.  

Après avoir coupé toutes les activités parascolaires, l'aide aux devoirs et les petits-déjeûners pour les moins nantis, le professeur a dû refaire lui-même le toît de sa classe qui menaçait de s'écrouler.  Par manque de budget, les matériaux nécessaires à la reconstruction ne lui ont pas été fournis.  Il a donc dû faire une pâte à partir de 17 des 18 livres de la bibliothèque de l'école pour colmater les trous.

N'ayant plus accès qu'à un seul livre en classe, intitulé Les volcans de la ceinture de feu: une histoire géologique, éditions Magma, 1977, les 28 élèves de la classe du professeur Michel Gougeon ont tous fait leur exposé de fin d'année sur le même sujet.

"Bon an mal an, c'est normalement 50% des élèves qui font leur exposé sur les volcans, l'autre moitié la faisant sur les dauphins (ou les baleines).  Ça, je pouvais l'accepter...  Mais après 32 ans d'enseignement et 462 exposés sur les volcans plus tard, disons j'ai atteint mon quota.  J'prends ma retraite.", nous disait le professeur nouvellement retraité.

Selon les informations recueillies par La Rpesse, la situation serait semblable, ou serait le point de l'être, dans toutes les écoles de la belle province.  Lors d'un point de presse, le gouvernement a exprimé sa confiance dans la capacité des élèves de tous âges de s'autogérer et s'autoenseigner, lorsque tous les professeurs et professeures auront pris leur retraite, d'ici 9 mois, selon leurs calculs.


lundi 15 juin 2015

Un groupe d'experts en éducation propose de renommer le jeu d'échecs "jeu des persévérances"

Un jeune, persévérant à persévérer dans un environnement non-hostile à l'atteinte de ses objectifs de réussite.

Pour éviter d'exposer les jeunes enfants vulnérables à des termes à connotation négative, un groupe d'experts dans le domaine suggère au Ministère de l'éducation d'agir rapidement pour freiner la pandémie d'échecs scolaires dans le système d'éducation québécois.

Ils proposent plusieurs mesures concrètes, dont la plus prometteuse est de renommer un jeu historiquement très populaire et mondialement connu, le jeu d'échecs, en "jeu des persévérances" et de modifier les règles pour permettre au roi perdant de se relever et de se faire encourager par les autres pièces de son équipe.  On songerait d'ailleurs à équiper le roi d'un bouclier fait de "confiance en soi".

"Un de nos agents a remarqué que plusieurs associations proposent des cours d'échecs pendant l'été, spécifiquement destinés aux jeunes en plus!  C'est intolérable.  Non seulement le titre 'cours d'échecs' porte à confusion, on pourrait penser qu'on y apprend à échouer et que c'est une bonne chose, mais en plus le mot 'échec' projette une image négative du jeu",  nous confiait un des experts consultés.

"Quand on se fait ramasser par un adversaire meilleur que soi, c'est pas si grave, la partie devrait pouvoir continuer pour préserver l'estime de soi du joueur pas bon", nous disait un autre.

Le groupe d'experts souhaite ainsi éviter toute espèce de référence à l'échec dans la société, espérant de ce fait l'éradiquer complètement.  Certains scientifiques contestataires, ignorés lors de l'étude, soulignent que de ne jamais être confronté à la défaite pourrait avoir des conséquences néfastes sur le comportement de l'individu une fois adulte, mais ceux-ci ont échoué persévèrent à faire entendre leur voix.

vendredi 12 juin 2015

Une étude confirme que porter un casque de vélo attaché à son sac à dos vous fait paraître autant en forme que si vous en faisiez




En effet, selon les conclusions d'une récente étude de la Society for Advanced Research on Appearances, le fait de se promener avec un casque de vélo à la main ou attaché sur soi donne les mêmes bienfaits sur l'apparence que d'en faire.

L'absence de sueur et d'essoufflement du sujet compteraient pour beaucoup dans l'apparence projetée de personne "pas mal en shape".  Les personnes aléatoirement croisées se feraient des réflexions comme "Wow, y vient de faire du bicycle, pis yé même pas essoufflé!  Y doit être vraiment en forme...".

Évidemment, il est recommandé d'avoir un minimum de connaissance en cyclisme pour pouvoir soutenir une conversation de 30 seconde sur le sujet, advenant une rencontre fortuite avec un vrai cycliste.

Il est par exemple suggéré de répondre avec des termes très techniques aux questions les plus simples pour augmenter l'effet de crédibilité.  Des phrases comme "Mon fixie a des pignons de 42/16, pour un ratio polyvalent de 2.63" sont recommandées pour répondre à aux questions du genre "C'est quoi ton bike?" et ainsi épater la galerie.

Les plus talentueux dans le domaine de "projection d'image de personne en forme" iraient même jusqu'à posséder un véritable vélo.


lundi 8 juin 2015

Message from the Reconciliation Committee of the RI-MUHC

Tutorial

How to relieve stress, tension and frustration from
your recent move to the Glen:


-On Windows 8.1, open your file explorer.

-In your folder "Desktop", create a new folder named "Glen".

-Create a second folder named "your lab to the Glen".


 -Drag and drop the folder "your lab to the Glen" into the folder "Glen".  Your heartbeat might rise upon seeing the "Move to Glen" indication.


(the next steps are designed to help you feel better)

-Then, mouse over to the upper left corner of the window above the blue "cancel" arrow.  A note will appear asking you this (see screenshot):


-Look more closely to where the green arrows point:



-Press the blue arrow to "Undo Move of your lab to the Glen".

-Repeat as many times per day (or hour) as needed.

                                          
        Sincerely,
                      the RI-MUHC reconciliation committee


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