Une étude scientifique en socio-écologie confirme ce que plusieurs savaient d'instinct. Suite au nombre toujours croissant de manifestations sociales survenant au printemps, les socioécologistes se sont penché sur la corrélation entre ces évenements.
Révolution des tulipes, révolution de jasmin, printemps arabe et printemps érable ont désormais remplacé hirondelles, nids-de-poules et odeur de vidanges qui dégèlent au titre de signes annonciateurs du printemps. Le plus récent exemple est sans conteste les manifestations qui ont lieu ces jours-ci au Québec, qui confirme les conclusions de l'étude.
En effet, les scientifiques tentent toujours d'identifier la relation exacte qui relie manifestations et arrivé du printemps, mais les hypothèses sont nombreuses. L'étude récemment publiée dresse une liste exhaustive de celles-ci, mais celles retenues par les auteurs comme étant les plus plausibles sont les vecteurs thermodynamiques créés lors des déplacement de foules qui réchaufferaient et chasseraient les masses d'air froid, de même que l'effet des gyrophares bleus et rouges qui stimuleraient la croissance des bourgeons par photosynthèse accélérée.
Les auteurs balaient de la main les critiques acerbes leur reprochant de trouver des corrélations bidons et de ne pas prendre en compte l'inclinaison de la Terre et son parcours elliptique autour du Soleil. "Il faut être de son temps, ces hypothèses appartiennent au passé", nous confiait un des auteurs, rejoint par montre connectée.
La rédaction de La Rpesse souhaite à tous et à toutes un printemps chaud, des coups de soleil précoces et le moins de coups de matraques possible.
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