Là où Leonardo da Vinci a échoué, un jeune père de famille montréalais a réussi. Autodidacte, l'homme de peu de mots a fait la lecture d'innombrables publications universitaires en génie mécanique, physique des fluides et en alchimie pour finalement découvrir que les scientifiques ont toujours été "à côté de la track", selon ses dires.
En faisait quelques mesures, le révolutionnaire s'est rendu compte que ce modèle particulier (uniquement les Mercury Grand Marquis '94 avec intérieur en velours bleu et faux bois sul dash) n'est tellement pas efficace énergétiquement qu'il rejette finalement presque autant de carburant non-utilisé qu'il en consomme. "J'ai juste eu à plugger un tuyau allant du muffler jusque dans tink à gaz. Le char se ré-alimente tu seul!". Une fois le plein d'essence fait, les modifications apportées rendent la voiture autonome indéfiniment.
"J'me considère pas comme un génie, mais le score c'est moi, 1, Léonard de Vinci, 0."
Les compagnies pétrolières, ayant eu vent de cette histoire et incapables de retracer l'homme en question pour l'éliminer (il se serait aussi fabriqué une cape d'invisibilité à partir de vieux vêtements de camouflage), songent à essayer de faire interdire la vente de tuyaux au Canada, pour que personne ne puisse suivre son exemple.
Au moment de mettre sous presse, le néo-scientifique travaillait à convertir un vieux tas de briques en système de transport en commun ultra-rapide pour Montréal.
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